EMILY DAVISBLAKE LIVELY
La vanité est le sixième sens.
“ Ecartez la vanité, elle gêne l'orgueil.” ◘ Nom : DAVIS
◘ Prénom(s) : Emily
◘ Date de naissance : 27th May 1987
◘ Origines : Américaine
You've got a secret. Le mensonge. La honte qui l'entraîne. Oui j'ai honte, d'être ce que je suis alors que je n'ai pas même le courage d'assumer, mais je ne peux faire autrement pour marcher la tête haute dans la rue. Mes parents sont mort d'un accident, alors que ma mère allait mettre au monde ma petite soeur, une que je ne connaîtrais jamais. Je suis la seule à avoir survécus et encore aujourd'hui, je me demande pourquoi. Je ne suis riche que pour cette raison et j'ai terriblement honte d'avoir de l'argent parce que la mort m'a arraché les êtres que j'aimais. Alors je cache.... alors je mens... alors je tente d'oublier.
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 (c) DODIXE |
•• La liberté, les chevaux, la danse, la fête
••Mentir, vivre avec le poids du secret, être entourée de trop de monde et surtout l'amour
- Menteuse
- trop fière
- suceptible
- superficielle, une apparence donnée volontairement
| - sociable malgré tout
- charismatique
- sure de moi
- forte
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La vie ne vaux rien mais rien ne vaux la vie...
« Tu es ce que tu es, et il faut savoir accepter le bon et le mauvais dans ta vie. » Ma mère a eu beau me bercer avec cette phrase, je ne l'ai cependant pas assez entendu, sachant qu'elle est partie trop tôt. Huit ans, plus tôt, j'étais née dans cette famille dans laquelle j'avais eu la chance folle de tomber. Ils étaient aimants et me faisaient sentir que j'étais à leurs yeux, le plus beau cadeau possible. Je n'avais pas besoin d'avoir de paquets sous le sapin à Noël, parce que j'avais mes parents pour me dire ce matin là qu'ils avaient déjà tout ce qu'ils souhaitaient. C'était la vie parfaite, la vie de rêve, qu'on ne voit que dans les contes de fée. Encore à cette époque, je m'imaginais que tout était possible, que je n'aurais jamais d'ennuis ou encore de soucis, toujours protégée par l'amour. Comme une enfant peut être naïve quand il s'agit de beauté. Car … un soir d'hiver, alors que les routes restaient verglacées par le temps, nous sommes sorties tous les trois pour aller à l'enterrement de ma grand mère. Mais je ne pensais pas à ce moment que le noir portait signifierait bientôt un jour de deuil bien plus important à mes yeux. La voiture était emplie de chansons, une seconde plus tard, me tournant vers la fenêtre, je vis le camion. Les chansons prirent un ton qui se rapprochaient de hurlements avant que le noir n'envahisse ma vie pour de bon.
Lorsque mes paupières battirent, j'étais dans une chambre d'hôpital, avec quelques blessures plâtrées qui m'empêchaient de bouger. J'aurais pu m'en sortir beaucoup plus facilement si ma tante qui n'avait pas été appelé ne m'ait pas balancé sans sentiment aucun que mes parents étaient morts et que j'étais désormais sous sa responsabilité moi et mon fric. Il n'y a rien de pire pour une gamine à entendre que cette phrase hideuse. Je pense avoir changé à ce moment là de mon existence, à savoir comprendre que mon conte de fée venait de se transformer en paysage remplit d'obscurité. Me taisant, j'ai suivit pendant deux trois ans,sans jamais ouvrir ma bouche ou fait de commentaires. J'étais même une petite fille d'assez sage, peut-être parce que j'étais en pleine dépression. Personne ne s'en ai d'ailleurs jamais soucié, me laissant dans un coin, profitant de la tutelle et de ma crédulité de gamine d'une dizaine d'années. La mort de mes parents me faisait souffrir plus que je ne l'aurais jamais cru, et une douleur aigüe ne cessait d'exister dans cet organe que l'on appelait coeur. C'est à cette époque que je bannis l'amour de mon existence. J'avais compris que ce n'était que souffrance, surtout quand l'on perdait la personne. Ma douleur se transforma donc en haine pour ce sentiment tandis que je me fis rebelle plutôt que sage.
Etre sage ne m'apportait rien et surtout je tenais à m'amuser. Si bien que dès l'âge de douze ans, grande pour cet âge précis, je traînais justement avec des plus âgés qui s'amusaient à m'emmener dans des boîtes alors que mentir sur mon âge se révélait plus facile. Pour être franche, je ne faisais que des conneries à cette époque et perdis même ma virginité à 14 ans. J'avais beaucoup trop bu ce soir là et je me souviens à peine des convives. Je sais que dans mon verre avait été versée une substance qui me rendait groggy. Mais je me souviens de son regard, bleu intense, un véritable miroir. Je me souviens de son étreinte et je me souviens également de la manière dont je le retins auprès de moi. Le lendemain matin, j'étais totalement nue contre lui et surtout, je sentais que j'avais perdu quelque chose. Ma virginité. Je ne l'ai pas regardé, ne me suis pas attardé, j'ai simplement fuit. Je ne pense pas l'avoir jamais revu et c'est sans doute mieux ainsi. Depuis, j'ai eu des amants, mais je n'ai jamais eu cette nuit, cette étreinte passionnée dont les moments me reviennent au fur et à mesure des années. Mais je n'avais pas le temps d'y songer, car je me faisais un point d'honneur à ne pas m'attacher et ce, à personne. Hors cet homme qui m'avait pris cette chose le plus cher, et dont l'empreinte me marquait encore, ne pouvait qu'être un danger. J'étais fière mais je savais reconnaître ce genre de faits pour me protéger.
J'ai grandit et j'ai atteint ma majorité, héritant de l'argent de ma famille. Mais à mes yeux, bien que je l'utilisais pour avoir mon indépendance, je n'étais pas heureuse. Cela me rappelait ma famille disparue et me faisait souffrir. Si bien qu'à mon entourage, j'inventais une famille et une provenance plus noble à tout cet argent. C'était sans doute malhonnête de ma part mais je ne savais faire autrement. D'autre part, j'étais bien dans ma nouvelle vie, du moins aussi bien que possible. Les seules personne auxquelles je n'avais pas réussit à ne pas m'attacher était des amies proches et l'idée de les perdre me donnaient des cauchemars. Mon existence suivit donc son cours et je me fis donc une vie assez stable. Du moins jusqu'à son arrivée.
Deux magnifiques yeux bleus, dans lesquelles j'allais plongé une nouvelle fois au risque de me perdre. Lui résister n'allait pas être facile mais me fragilisé était bien plus dangereux que de lui échapper.
Si je suis moi parce que tu es toi...
• Connaissez vous le jeu ? peut-être bien...si on parle de monopoly
• Rouge sang ou noir d'encre ? rouge sang
• Ciguë ou acide sulfurique ? cigüe
• Que pensez vous de Bonnie and Clyde ? Je pense qu'ils sont passionnant.
• MacDo ou MacBeth ? Macdo
• Quel était votre rêve lorsque vous étiez enfant ? Devenir danseuse étoile. J'ai changé depuis
• L'élection d'Obama ; pour, contre, cool, je m'en fous ? Je m'en fou personnellement
• Convers ou vans ? Convers
• Zéphyr ou Mistral ? Zephyr, c'est tellement plus beau en son
• Salut les copains ou Goodbye my lover ? Salut les copains, je déteste l'amour et tout ce qui peut s'y rapporter
• Excentrique ou discret ? Exentrique
• Votre couleur favorite ? Rouge
• Si, là tout de suite, je vous arrachais l'oeil avec les dents, auriez vous le temps de vous défendre pour ne pas perdre l'usage de cet oeil ? Question ridicule, personne n'osera me toucher
Et derrière l'écran, il y a ...
Pseudo/prénom ; Avalon
Age : 19 ans
Fréquence de connexion : 7/7
Plutôt brebis ou loup affamé ? loup affamé
Comment avez-vous connu le forum : Par PRD
Votre avatar : Blake Lively
Souhaiteriez-vous plus tard devenir modo, pubbeur ou admin ? Ouah aucune idée xD
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