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La partie des PVs est en reconstruction alors ne vous étonnez pas si tout n'est pas parfait. Si vous avez un doute, n'hésitez pas à nous poser la question ! Changement de version =] Merci d'patienter, il est 01h14 et j'en ai ma claque de changer le css alors je vais dormir je reprends demain xD Merci d'patienter
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i'm just a jealous guy, watch out ~ s. nohann

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S. Nohann de Varennes
S. Nohann de Varennes

«Je n'ai jamais été amoureux d'Ondine. VDM »


Messages : 61
Date d'inscription : 22/02/2010

i'm just a jealous guy, watch out ~ s. nohann Vide
MessageSujet: i'm just a jealous guy, watch out ~ s. nohann i'm just a jealous guy, watch out ~ s. nohann EmptyDim 28 Mar - 23:02

Sacha Nohann de Varennes feat. Mathias Lauridsen

i'm just a jealous guy, watch out ~ s. nohann Waaaaa10
(c) by pilepoil

MY LIFE AS A DUCK
HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE HISTOIRE

I'M NOT AN ANGEL
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MES AMIS, MES AMOURS, MES EMMERDES.
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LITTLE DIRTY SECRET
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LIGE IS A GAME
POINT DE VUE SUR LE JEU BLABLA



Can I be better than you ?

«Tommy reviiiiens. » Je n’ai jamais eu assez de voix et commencer ma vie par le pire est sans doute la meilleure chose que je puisse faire. On entend souvent dire qu’écrire ce qui nous torture est une excellente thérapie pour chasser ce mal qui a planté ses griffes dans la matière flasque de nos mémoires meurtries. Peut-être. Une chose est sûre, je peux l’écrire dans toutes les langues, sur les murs, sur le sable ou sur une feuille à carreaux, jamais je ne parviendrai à me retirer les cinq lettres qui me tourmentent tant. T-O-M-M-Y. Tommy. Chapeau. Quel crétin. Je lui en veux. Je lui en veux d’être parti. Je lui en veux de m’avoir laissé. Je lui en veux de me laisser lui courir après sans même m’aider. Je lui en veux parce que je tiens à lui. Je ne lui ferai jamais payer et j’en suis bien conscient. A l’époque je croyais que le jour où je le retrouverais, mes vagues grognements disparaîtront pour laisser place à une joie incontrôlable. Je sais, j’ai tendance à m’emporter mais qu’il soit rassuré, je n’irais pas jusqu’à me pendre à son cou ou l’embrasser, ivre de joie. Quoique. Rien n’est jamais sûr, et ça, tâchez de ne pas l’oublier car si moi je l’occulte souvent, il vaut mieux pour vous que vous vous en souveniez pour tenir vos distances avec ma personne…
Revenons plutôt à Tommy. Gamin, je déformais son prénom à souhait. Au début c’était réellement une erreur de langue de ma part puis, agaçant comme tout bon gosse, j’ai continué mon petit jeu alors même que je connaissais chacune des lettres. J’aurai pu épeler son prénom à l’envers, mais non, c’était plus « drôle » de l’appeler Tobby ou une connerie du genre. Tantôt raccourcis, tantôt à rallonge, son prénom n’a plus jamais eu sa forme originelle dans ma bouche sauf le jour où j’ai appris son départ. Digne d’un acteur hollywoodien dans ses débuts, j’ai couru sur la route comme un imbécile en beuglant son nom, comme si le fait que je m’époumonais au milieu de nulle part pouvait le faire revenir. C’est quelqu’un qui a plein de qualités, j’en suis convaincu, mais je doute qu’il ait une ouïe développée au point de pouvoir m’entendre à des kilomètres. Je n’ai jamais eu de grandes oreilles velues, mais braire, c’était mon truc, mais les temps changent. Têtue comme une mule, et oui, moi aussi j’ai beaucoup de qualités... Je continue. Son image est restée telle qu’elle dans mon esprit malgré les années passées. Je n’avais que neuf ans, lui treize et dans mes souvenirs il garde cette même tête d’adolescent blondinet au regard si captivant. J’ai toujours adoré courir après lui pour marcher dans son ombre. Il aurait pu partir à cloche pied avec un filet à papillons que j’en aurai fais de même avec fascination car je le prenais en modèle. Ce que j’ai longuement refusé d’admettre c’est qu’il était imaginaire.

Je suis né le 21 mars 1987 et ma vie n’a rien de passionnant. J’ai toujours été le gamin qu’on appelle comme on peut car on oublie le prénom et je devenais alternativement gamin, le garçon au t-shirt blanc, celui du fond de la pièce. On oubliait mon visage, mon prénom, mon utilité ou même, pourquoi j’étais là mais je n’ai jamais été suffisamment susceptible pour m’en importuner. Après tout, être inconnu, à bien des égards, peut être particulièrement utile lorsqu’on désire se faire oublier. J’avais beau avoir des notes qui marquent, et de grands yeux innocents, rien n’y faisait. J’aurai pu porter une étiquette avec mon prénom ou bien avec une gourmette mais je préférai être ce gosse qui courrait après un ami imaginaire pour combler un manque affectif et brutalement je passais du côté des « pauvres enfants troublés à l’enfance malheureuse ». Ce côté flou et indéfinissable qui émanait alors de moi lorsque les gens tentaient de se remémorer comment m’interpeller m’a toujours subjugué et je savais que dans cette course folle je me précipitais dans un bain d’arrogance brûlante. On ne m’a jamais beaucoup entendu et c’est sans doute pour cette raison que je ne marquais pas les esprits mais j’avais ce don indéniable pour le travail et c’est à partir de là que tout a pris place. Enfin j’étais Ethan, le premier de classe, et non un gosse au t-shirt blanc.

On a bien essayé de m’intéresser aux filles mais je n’ai pas accroché plus que ça, préférant encore dormir couché dans l’herbe que d’aller tenter de satisfaire une de ces créatures en trainant en ville avec elle. Une fille c’est trop complexe. Ca aime des trucs mais ça n’en veut surtout pas. Par exemple le chocolat. Les filles ça aiment le chocolat mais elles n’en veulent pas car ça les fait grossir…Mais si on leur en offre, elles sont heureuses quand même. Si ça ce n’est pas être tordu…Une fille ça geint encore plus que moi et ça a peur de trop de chose. Une fille ça attend toujours trop de trucs des garçons et ça finit toujours par les repousser car « elles ne ressentent plus pour vous la même chose qu’au début ». Façon bien littéraire de dire qu’elle ne vous aime plus mais qu’elle préfère leur nouveau voisin français. Une fille c’est capricieux, tordue, impossible à satisfaire et pire encore, toujours indécise alors j’ai décidé que plus tard peut-être je me pencherai sur leur cas mais que pour l’instant, loin de me plaire, elles me laissaient perplexe comme des animaux saugrenus. L’adolescence se passa donc sans ombre permanente d’une présence féminine, ma mère trop prise « par son travail » et mes copines trop éphémères. Il ne me restait que la bibliothèque comme seul refuge et cela me convint à merveille. Je pris facilement goût en informatique en discutant avec un type qui était à l’université alors que j’entrais au lycée.
Après plusieurs mois d’apprentissage, une ambition folle me gagna : Columbia. L’informatique. Le gosse paumé aux parents désœuvrés allait faire des études. Il me fallut trois ans…
Aujourd’hui, je suis en informatique et les codes binaires non à présent aucun secret pour le grand type blond cuivré et mince que je suis. A mon entrée, j’avais dix neuf ans et plusieurs années d’entraînement à hacker à droite à gauche. Je m’appelle Ethan Whistler, j’ai aujourd’hui vingt deux ans. A ma troisième année, aux examens j’ai eu de loin les meilleurs résultats. Je pèse trois mille dollars de plus chaque mois environs. Je suis sans atout physique mais vous ne me battrez jamais sur mon terrain, l’informatique sans être vous-même bien entraîné.


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•• Pseudo : Pilepoil ou Clyde
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