ALEXANDRE Guilhem Desprez
Dimitri VANKERKOVEN

La vanité est le sixième sens. “ Ecartez la vanité, elle gêne l'orgueil.” ◘ Nom : Desprez ◘ Prénom(s) : Alexandre, Guillhem ◘ Date de naissance : 2 juillet 1985 ◘ Origines : Françaises You've got a secret. Quand j'étais gosse j'avais un poisson rouge qui s'appelait Oscar, allez savoir pourquoi, il aimait bien sauter genre "Je suis trop un dauphin" il a fini desséché derrière le meuble ou était posé l'aquarium, RIP Oscar.

Je hurle avec le loup (c) Babine

Edward est un mec sympathique que j’ai rencontré en débarquant de ma France natale. Bien sur je lui ai appris toutes les insultes que je connaissais et il en a fait de même, depuis nous sommes très bons amis, et même si nous ne sommes pas de grands extravertis dans la vie, nous nous entendons plutôt bien.

Je n’ai jamais été très riche, et je n’ai jamais aimé être seul, alors j’ai recouru à la collocation, quelle idée n’ai-je pas eue ! Je suis tombé sur un grand malade, qui a vrai dire me fait un tantinet flipper par son caractère étrange et pour ainsi dire très spécial. Je suppose que je pourrais me faire un jour à ses excentricité, mais en attendant la seule chose qu’on partage vraiment, c’est le café.

Elle c'est ma psy, elle s'obstine à croire que j'ai un problème et pourtant je n'en ai pas l'impression, comme tout le monde j'ai parfois quelques pensées étranges, mais rien de pathologique à mon sens. Peut être qu'après une thérapie de deux ans elle finira par enfin se rendre compte que je suis parfaitement sain d'esprit.

Lui c'est mon frère, depuis peu, je n'en ai pas spécialement entendu parler à part récemment, bien sur je ne serais pas contre aller prendre un café avec lui et parler de nos peluche préférés et de ses résultats aux partiels de janvier mais y'a comme un froid, ce n'est pas comme si nous avions bu nos premières vodka ensembles lui et moi.

- Faible - Rancunier - Dispersé - Maladroit

- Tenace - Enthousiaste -Sociable - Sans méchanceté.

Aujourd’hui je n’irai pas, et puis demain non plus. Je souffre, lui se contente de regarder avec le même plaisir malsain, à chaque fois, riant avec dégoût de nos propres faiblesses. Lui c’est moi, du moins en quelque sorte, il ne revient que pour me sauver la mise, sans trop de raison, peut être pour me laisser mordre la poussière un peu plus longtemps, je n’ai jamais su, mais il est toujours là, prêt à surgir au travers de l’ombre pour me susurrer des choses que je n’aurais moi même, jamais envisagées. Sa voix est doucereuse, ronronnante et sûre d’elle, ponctuées souvent de quelques rires désabusés et froids. Il parle à ma place, ses yeux brillent d’un éclat étrange, comme si des flammes dansaient et tournoyaient dans ses prunelles. Prenant rapidement le pas sur ma raison, il s’installe, méticuleux, s’évertuant à découvrir une nouvelle fois ce corps qu’il n’a pourtant que trop l’habitude d’habiter. Ca ne me choque pas, au contraire, j’attend sa prise de pouvoir avec un engouement démesuré. Doucement, je me laisse aller, allant même jusqu’à partager son euphorie. Nos rires résonnent à l’unisson, je sais qu’il a gagné et c’en est même salvateur. Il a décidé que nous sortions, alors nous sortons, malgré l’heure tardive et les mauvaises fréquentations de London by night. Docile, je le suis. Ma démarche a changé, elle est plus droite, assurée, moins brouillonne. Je sens sa force envahir mes membres et terrasser toute forme de volonté pour lui résister, je sombre, et j'aime ça. Cela ne va durer que quelques heures tout au plus, quelques heures qu’il me faudra apprécier à la valeur d’un anesthésiant, d’une drogue aux effets grandioses mais limités dans le temps. Je marche, me laissant guider par ses pas, sans aucune idée de l’endroit ou ils me mèneront et à vrai dire je m’en fous, bien trop concentré sur mes sensations intérieures qui dépassent de loin tout ce que j’ai connu. Il me surprend à chaque fois. La complexité de ses réflexions me laissent coi, me fascinent alors qu’à l’inverse son manque d’espoir et son cynisme me déroutent, tant ils sont loin de ma base. Capable de foutre en l’air tout ce à quoi je tiens sans la moindre once de culpabilité, il ne s’exécute pas, se réjouissant juste de ses habiletés à avoir le pouvoir, si il s’aventurait seulement à le désirer. Moi ? Je voudrais qu’il prenne cette décision, qu’il agisse à ma place, quitte à en crever de douleur pour assumer ses actes juste pour me sortir de cette faiblesse qui me noue la gorge jusqu’à l’asphyxie la plus avancée, mais non, il a d’autre projets, il veut que ce soit moi. Mais moi, je n’en ai de brillant que mes facultés à m’enliser dans des les situations les plus critiques. Je l’implore de me sauver de cette passe, mais ma faiblesse le révulse, alors il se fait plus ferme et m’accorde une seconde de conscience dévastatrice avant que je ne me conforme une nouvelle fois à ses idées et qu’il reprenne le dessus et me laisse une nouvelle fois puiser dans sa propre force. Comme un enfant qu’on aurait privé d’eau un jour de canicule, je bois maladivement, trop peut être. Rassasié, j’oublie mon instant de déconnexion et continue mon ascension vers une folie qui me dépasse, la sienne. Être spectateur ne suffit plus, je m’abandonne, je deviens lui.

Je ne souffre plus, lointain souvenir, je deviens fou de toutes les démesures. La nuit est pénétrante et mon corps poreux, est avide d’extrême, de faste. Je suis prêt à tout pour toi et pourquoi ne pas commencer par te briser avec l’application la plus méthodique qui soit ? Mon esprit s’aventure dans des terrains dangereux ou j’imagine et envisage mille façons de te prouver à quel point vous vous trompez tous sur ma nature. La liste est précise, et claire dans mon esprit qui suit pourtant des chemins tortueux. Je pourrais te faire regretter d’avoir voulu ma perte, ce n’est pas d’idées dont je manque et pourtant mon imminente supériorité me pousse à faire preuve de clémence devant ton inconscience. Croire que l’on détient le pouvoir ne le confère pas toujours hélas, et beaucoup se plantent à ce stade de leur réflexion trop hasardeuse et sous développée. Je t’accorde que moi aussi je prendrais un certain plaisir morbide à te voir gémir de douleur recroquevillée sur toi même, enlisée dans ta souffrance, touchant du doigt le point de non retour. Nous ne sommes pas différents tu sais, non tellement pas, mais j’ai l’avantage de pouvoir contrôler ces envies de mort et de destruction lorsque te prend l’envie d’afficher avec si peu de retenue avec une âme ou une autre que tu utilises aussi bien que tu l’as fait avec moi. Évidement j’envisage avec froideur et démences, effusions de sang et tortures psychiques suffisamment poussées pour vous faire plier tout les deux, toi et l’autre, victime de mes jalousies, source de mes angoisses, du feu infernal qui décime la part d’humanité que je m’accorde quand je sens son cœur imploser doucement dans mon torse à chacune de tes afflictions. Je dois te reconnaître un certain talent, dans l’art de me torturer, tout en sachant pertinemment que je pourrais y mettre un terme avec une facilité qui te déconcerterais. Tu ne me manques pas, du moins pas quand je suis loin de toi. Lui, déraisonnable, n’aspire qu’à te retrouver, et si son attachement inepte ne m’inspire que dégoût et aversion, il n’en est pas moins sincère et juge dans sa décision. Oublier, pardonner, il est capable de toutes les folies pour cette absurdité qu’on nomme amour, la contradiction est là ma belle, moi je n’oublie pas Jane, et les gens comme toi ne m’inspirent que du mépris et de la haine. Bien sur je n’interférerais pas, je ne suis pas là pour faire claquer tes dents contre le plancher immaculé de ton appartement ni même pousser au suicide ton nouvel amant, non, mes projets sont bien plus grands, plus nobles, que de céder à l’envie meurtrière de te faire payer ta note à satan. J’ai mieux à faire, les plaisirs d’une guerre sans merci pour l’intégrité ne m’attirent plus et sont bien au dessous du niveau d’excellence que je vise. Ma seule faiblesse est ma seule force et en pauvres crétins avides de pouvoir s’essayant en amateur à l’art de la manipulation, vous oubliez tellement vite qu’en manquant cruellement de mesure, c’est contre vous même que vous vous insurgez. Évidemment, succomber au plaisir de la violence, de la terreur est facile, simple et apporte de grandes satisfactions, mais pas de réel pouvoir quoi qu’on en dise. Détruire quelqu’un n’a rien de foncièrement compliqué quand on sait s’y prendre, c’est même accessible à quiconque s’y intéresse, mais beaucoup moins louable que de choisir d’aller contre sa nature et de refuser délibérément de jouer.


• Connaissez vous le jeu ? Ca dépend, j'ai vu Saw.
• Rouge sang ou noir d'encre ? Noir d'encre.
• Ciguë ou acide sulfurique ? Acide sulfurique
• Que pensez vous de Bonnie and Clyde ? Je switche la question.
• MacDo ou MacBeth ? MacBeth, c'est moins calorique
• Quel était votre rêve lorsque vous étiez enfant ? Abdel yves hakim fly, je voulais voler, pas très original.
• L'élection d'Obama ; pour, contre, cool, je m'en fous ? Cool.
• Convers ou vans ? Converse va.
• Zéphyr ou Mistral ? Zéphyr.
• Salut les copains ou Goodbye my lover ? Goodbye my lover.
• Excentrique ou discret ? Ca dépend de mon humeur.
• Votre couleur favorite ? Piscine sale, what else.
• Si, là tout de suite, je vous arrachais l'oeil avec les dents, auriez vous le temps de vous défendre pour ne pas perdre l'usage de cet oeil ? Pas vraiment, car le temps de touver la poele posée sous une pluie de vaisselle, je serais déja borgne, mais tant pis, j'ai toujours voulu être un pirate, même si Jack Sparrow est très sexy avec ses deux yeux aussi.

Pseudo/prénom ; Michael Jackson
Age : 19ans
Fréquence de connexion : 6/7
Plutôt brebis ou loup affamé ? Je suis un petit mouton noir.
Comment avez-vous connu le forum : Quand c'était un forum test bleu et qu'il s'appellait you-are-my-muse et que je ja galerais sans internet à écrire des version de contexte bizarre, avant de finalement m'inscrire avec ce perso qui aime le café, et qui a j'en suis sure dans son appartement une cafetière senseo qui ne fait pas de café goût detartrant.
Votre avatar : Dimitri VANKERKOVEN
Souhaiteriez-vous plus tard devenir modo, pubbeur ou admin ? ...

J'te félicite, tu sais écrire Vankerkoven xD LA PROCHAINE FOIS ON PASSE A STAS SVETLICHNYY.
J'te valide, va gambader avec les autres moutons noirs comme toi x)

Je "c'est" écrire STAS SVETLICHNYY ! xD Parfois je m'embrouille voilà tout haha !

Fais pas ta maligneee je l'ai écris juste au dessus x)
T'as raison, moi aussi je "s'est".

Mais j'te jure que j'sais l'écrire toute seule sans modèleeee. Par contre Vandequeloquechose, j'ai fait un copier coller, j'ai laché l'affaire xD

Vankerkoveeeeen. Il est pourtant mignon comme mec

Attends. Van-ker-koven ? Certes très mignon même. J'ai toujours aimé les genre de blondinets de ce style x) Avec des cheveux, très beaux cheveux.

Juste une gueule de paumé mais bon, c'est très...futile comme détail !

Nan mais l'ensemble est bien. Il a l'air mignon comme type, j'aime bien jouer ce genre là x)

Oui, ça me laissera libre de te traumatiser

Ce lien est génial, j'pense qu'on va bien rire xD
Faudrait commencer un rp

Et bien vois-tu j'en avais un qui aurait pu convenir si tu sais d'adapter...Enfin ça, c'était jusqu'à ce que me loupe dans mon copier/coller...

Que tu te loupes dans ton copier coller ? XD Tu l'as perdu ?

Oui, lamentable, déplorable, catastrophe, du lieber Himmel!
Enfin, nous allons survivre, nous nous le devons au minimum jusqu'en l'an 2012, après, on peut s'étrangler avec le fil de la souris, qu'importe puisque les mayas ont posé rendez-vous avez la mort dans la calendrier sponsorisé par lafindumondevousrendservice.con.
Je vais le retaper si je trouve du Juvamine c'est juvabien à me mettre en travers de la gorge, sinon tu devras commencer je ne crains

Ce qui ne me gène absolument pas quant on sait à quel poiiiiint j'adore commencer, si on faisait des statistiques je suis sûre qu'on s'en rendrait très vite compte !

BoNjOuR
SaLuT ma pote tape m’en cinq
BiEnVeNuE Michael Jackson tu m’a trop manquéééée



C'est mieux?
WELC00000000000000000000ME

Voilà qui est mieux.

et en plus t'as eu le droit à un arc en ciel de couleurs, tu devrai être flattée

C'est trop d'honneuuur x)

un peu oui, c'est pas donné à tout le monde d'être accueilli avec autant de couleurs ...

S'pas tout les jours non plus qu'on es menacé de pensionnat de chavagne par mp non plus hein x)

certes je dois l'avouer.
j'ai eu peur pour ma vie je l'admets.