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Need violence. Need blood. Need drug. All I need is too bad for you

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Zéphyr O. Mitchell
Zéphyr O. Mitchell




Messages : 169
Date d'inscription : 04/03/2010

Et sinon ?
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Need violence. Need blood. Need drug. All I need is too bad for you Vide
MessageSujet: Need violence. Need blood. Need drug. All I need is too bad for you Need violence. Need blood. Need drug. All I need is too bad for you EmptyDim 14 Mar - 23:22

Zéphyr O. Mitchell feat. Jared Leto

Need violence. Need blood. Need drug. All I need is too bad for you Waaaaa10
(c) by pilepoil

MY LIFE AS A DUCK
Zéphyr n’a jamais été un de ces gamins parfait qu’on exhibe à chaque réunion de lotissement, qui a les cheveux peignés avec soin et qui boutonne sa chemise comme il faut avant de la rentrer dans son pantalon taillé à la bonne longueur. Introvertis étant gosse, complètement décalé une fois adolescent, il n’a jamais été un modèle pour quiconque et encore moins pour son frère. C’est ce qu’on pourrait appeler basculer du côté obscur de la force si on souhait faire un rappel cinématographique. Possédant un esprit d’une noirceur sans égale il a tenté un suicide avec un sang froid exemplaire qui en choqua plus d’an.

I'M NOT AN ANGEL
- Lunatique Agressif Sarcastique Psychopathe Cultivé Intelligent Joueur Imprévisible .
•• Il aime l’ivresse, le sang, et la folie des passions.
•• Il n'aime pas l’attachement, l’ordre et les avocats.

MES AMIS, MES AMOURS, MES EMMERDES.
Zéphyr a rencontré depuis peu Wendy, qu'il considère comme une erreur. Ils n'auraient jamais du avoir une aventure tous les deux, il en est convaincu. Malgré tout il lui laisse de plus en plus de liberté vis-à-vis de lui, lui accordant des choses qu'il ne donnerait à aucune autre. Eh oui, chacun ses failles. Sinon il y a aussi son frère, pour qui il ne dira jamais clairement qu'il le protège mais il n'en fait pas moins. A chaque problème il est prêt à sortir son frère du pétrin mais ne montrera jamais une seule marque d'affection.

LITTLE DIRTY SECRET
Il y a des choses qui ne se disent pas, et celui de Zéphyr fait partis de ces choses...Confesser l’innommable revient à avouer que Zéphyr n’est autre que Mr. Nobody en personne…

LIGE IS A GAME
Il est le maître du jeu, Mr. Nobody alors shhhht.



Can I be better than you ?

Mon humeur, mon essence, mon tempérament, mon instabilité se matérialisent sous cette forme animale et pourtant si informe à l’état le plus pur de son existence. Tantôt bestiale, tantôt endormie, cette masse sombre prend souvent cette apparence de douleur. Crocs acérés et griffes tranchantes sont ce qu’imaginent en premier les gens. A cet être on rajoute souvent un regard glaçant souvent trop pénétrant ainsi qu’un pelage de couleur sombre, annonciateur de désastre. On l’imagine alors courant les plaines, sous apparence lupine, de puissants muscles infatigables permettant cette course effrénée avec la lune. Son hululement suffirait à faire sursauter un homme endormi. Les gens sont fous, et comparé à eux je me trouve plutôt sain. Si parfois je me compare à un loup dans la bergerie, je ne vais pas jusqu’à la schizophrénie bestiale. Les gens préfèrent représenter une gueule sanglante aux crocs assassins, c’est un fait. La peur ancestrale du loup n’arrange rien aux mythes, j’en conviens mais à cet instant dans le regard de cet homme j’ai lu une chose que j’avais croisé dans bien d’autres yeux suppliant : la croyance en existences mystiques et légendaires. Cet homme, comme tous les autres et pourtant tout ce qu’il y a de plus pragmatique. Il prône l’usage des chiffres. Il vit dans les chiffres, il parle en chiffre, pense en chiffre et mourra pour des chiffres, c’est une certitude. Lui, si fermement attaché à la science brute, se laisse glisser vers cette folie dans laquelle tombe tout être censé lorsqu’il est face à la mort. Il sombre vers ce qu’on attribue souvent aux enfants. Ils vérifient chaque soir sous leur lit et dans leur penderie qu’aucun monstre ne s’y cache. Avant d’expirer le soupir, avant de recevoir la dernière salve, beaucoup se lance des discours décousus. Oh oui, combien suis-je cruel de me délecter de ces moments de faiblesse intense. L’homme rampe, déjà bien trop imprégné par le dérangement que je ne peux pas décemment le laisser partir.
J’ai parcouru le hangar sans me soucier du fouineur qui tremblait par terre, secoué par des peurs violentes comme il n’en avait sans doute jamais connu. Un sourire terriblement sadique étira mes lèvres lorsque je l’entendis me supplier de nouveau, même si présentement je lui tournais le dos, cherchant du regard ce qui ferait mon bonheur. Je refuse tout travail souillé. La précision et l’application sont mes maîtres mots. Enfin je les vis.
Ses lunettes.
Je les ramassai et revins vers lui d’un pas nonchalant. M’accroupissant auprès de cet être, je lui accordais un dernier regard méprisant. Sur son visage ruisselait la transpiration due au survoltage des émotions qui s’entrechoquent et aussi à son surpoids léger qui l’épuisait à chaque effort. Sa chemise, auparavant blanche, n’était plus qu’un torchon maculé de diverses taches et sa cravate bordeaux était desserrée et dans un piteux état. Je lui remis ses lunettes sur le nez, lisant l’incompréhension totale sur son visage. Un rire cruel chatouilla ma gorge tandis que je me relevais. Le canon de mon arme se retrouva rapidement à hauteur de son front et après un dernier signe militaire de salut, je pressai la détente sans le moindre remord, ni même pour cet escroc. Il était un rat sur un navire, comme tant d’autre, et les rats sont tués avant qu’ils ne transmettent leur maladie à autrui.

Ce n’est qu’aux environs de vingt-une heure, les mains de nouveau lavées de toutes traces, que j’avais franchis la porte du bar ; soit huit heure et dix minutes après la mort officielle de Yann Kurson, un homme qui s’est suicidé dans sa voiture sur le parking d’un supermarché. Quelques témoins peuvent affirmer avoir vu Kurson pointer l’arme sur sa tempe et tirer. Ce que personne ne sait c’est que ces témoins sont mes pupilles. Oh que le monde est bien fait. J’assois au bar, répugné à l’idée de prendre un bain de foule. Si j’aime maitriser un troupeau, je n’aime pas m’y promener. Les gens se frôlent, se bousculent, se touchent, s’échangent leurs microbes en même temps que des banales formules de bonjour ou d’excuses. Je ne supporte pas l’odeur humaine, l’odeur de la transpiration, de labeur mais aussi d’hypocrisie suprême.
Instinctivement, mes doigts pianotaient lentement le zinc alors que mon regard parcourait les lieux, attendant patiemment mon verre. Rien ne retenait véritablement mon attention ou bien j’y mettais de la mauvaise volonté. Les deux étaient envisageables avec moi. Agacé par la situation, sous l’effet d’une perpétuelle surtension j’ai remonté mes manches jusqu’aux coudes, souffrant de la chaleur que dégageait une telle masse d’individus. Ce n’est qu’après avoir finis d’une traite mon second verre que je sentis un regard me brûler par son intensité. Je fis doucement tourner mon verre vide, m’amusant des reflets dansant qui apparaissaient sur le zinc, distinguant la jeune femme du coin de l’œil. Je continuais mon petit jeu sans lui accorder le moindre regard, remarquant malgré sa discrétion, le bouton qu’elle retira. Pauvre âme. Échapper à la vigilance d’un crétin est une mission bien facile, échapper au mec le plus attentif et voyeur de Londres, voilà qui est plus ardu. C’est avec un sourire amusé que je l’imitai, ôtant à mon tour un bouton de ma chemise. Un homme torse nu fait parti des mœurs acceptables de la nouvelle société, une femme en sous-vêtement dans un bar, beaucoup moins alors en aucun cas je ne pouvais perdre à ce jeu dangereux. Je recommandais un verre de whisky avant de me tourner enfin vers elle. Nos regards se sont croisés, perdus l’un dans l’autre puis j’ai haussé un sourcil avec cette étrange envie de rire avant de me désintéresser, du moins d’apparence. Certes, j’ai souvent de la compagnie le soir mais c’est souvent par dépit mais ce soir je n’étais pas décidé à bouger de moi-même. Il te faudra un argument plus fort qu’un joli décolleté douce créature. Malgré ma mauvaise volonté, je fis savoir au barman que je payais la consommation suivante de la demoiselle avant de passer ma main dans mes cheveux, n’ayant que faire de l’image physique que je pouvais renvoyer aux autres.


Can I be better than you ?

•• Pseudo : Clyde or Pilepoil 8D
•• Age : 17 ans.
•• Fréquence de connexion : 6/7
•• Avatar : Jared Letooooo *ç*
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